Beschreibung
Peter Appleton, Drehbuchautor aus Hollywood, verliert bei einem Autounfall sein Gedächtnis. Ohne es zu wissen, beginnt er ein neues Leben in Lawson, einer beschaulichen Kleinstadt in Kalifornien. Dort nämlich halten ihn die Einwohner für einen seit Jahren vermissten Kriegshelden. Selbst dessen schöne Freundin Adele macht es ihm leicht, seine neue "Identität" zu akzeptieren. Eine perfekte, wunderbare Lüge. Doch auf Dauer obsiegt immer die Wahrheit....
Produktdetails
| Regisseur | Frank Darabont |
| Schauspieler | Jim Carrey, Allen Garfield, Bob Balaban, Martin Landau |
| Label | Warner Home Video |
| Genre |
Komödie
|
| Inhalt | Blu-ray |
| FSK / Altersfreigabe | ab 6 Jahren |
| Erscheinungsdatum | 24.02.2015 |
| Ländercode | A |
| Version | US Version |
| Produktionsjahr | 2001 |
| Ton | Englisch |
Cast & Crew
Schauspieler
Kundenrezensionen
-
Correct !
Il n’y a pas beaucoup de réalisateurs que j’adore ou qui ne m’ont jamais déçu. Certes, David Fincher a presque fait que des films que j’aime vraiment et on peut en dire autant de Steven Spielberg. Zack Snyder a fait au moins trois films qui sont très bons, voire excellents. Je peux en dire autant de Bryan Singer. Le regretté Harold Ramis en a fait au moins cinq que j’adule. Et si je devais rajouter des noms, je mettrais probablement ceux de Sam Mendes, Paul Thomas Anderson, Alan Parker, Sam Raimi, Stanley Kubrick, David Lynch…
Tout ça pour dire que Frank Darabont fait clairement partie du lot pour moi. En tout cas, ses trois collaborations avec Stephen King ont à chaque fois donné des chefs-d’œuvre.
Mais c’est peut-être là le problème ! The Majestic, qui lui n’a rien à voir avec Stephen King, est moins bon et bien moins marquant que The Shawshank Redemption (1995), The Green Mile (1999) ou The Mist (2007). Ces trois adaptations font partie des meilleures histoires portées à l’écran basé sur un livre du grand maître de l’horreur. The Majestic a été fait après les deux premiers et avant le troisième. Comme si Darabont avait voulu tester autre chose, mais s’est rendu compte qu’il fallait vite revenir vers sa recette miracle.
N’empêche que ce réalisateur arrive à créer un univers, des décors qui représentent la simplicité de personnes qui ne se prennent pas la tête, mais qui ont leurs problèmes, comme tout le monde. Les dialogues sont toujours intéressants et la mise en scène excellente, très agréable sur une bande son très jazz.
Il y a cependant des scènes moins intéressantes que d’autres et je ne suis pas convaincu de la finalité.
Un élément me perturbe : je suis surpris qu’on n’ait pas tellement parlé de la performance sérieuse de Jim Carrey. On a beaucoup parlé de Eternal Sunshine of the Spotless Mind (2004), de The Number 23 (2007), mais aussi de The Truman Show (1998), alors qu’il n’était pas si sérieux que ça, là-bas. Certes, il n’était pas comme dans Dumb and Dumber (1994), Ace Ventura 1 & 2 (1994 & 1995), The Cable Guy (1996), Liar Liar (1997) et j’en passe… mais il était quand même le Carrey qu’on connaît bien !
OK ! Mais ce film-ci était bien hors du commun, à l’époque, pour Jim Carrey. Ce n'était pas le «visage en caoutchouc» habituel. Quoi qu'il en soit, c'est un film assez émouvant. Je peux comprendre ceux qui, même plusieurs semaines après l'avoir vu, en avaient encore les larmes aux yeux. Cela reste un bon film avec un vrai message. Son échec au box-office est sans doute dû à sa longueur excessive. Il n’aurait pas dû dépasser les deux heures.
Oui, les longueurs font partie de certains films film… mais là, ça n’en fait pas un chef-d'œuvre !
Beau, imaginatif, avec une belle fin, un vrai film pour le vendredi soir !
Il vaut la peine d’être vu par les vrais cinéphiles.
Bon, avouons quand même qu’il y a pas mal de ressemblances entre Man on the Moon (1999), Truman Show et ce Majestic. Du coup, les détracteurs de Jim Carrey ont dû se dire que les spectateurs ne verront que du feu dans ce nouveau registre.
Mais après on trouvera toujours des gens négatifs qui viendront tenter de tout détruire !
Car on peut aussi se dire que ce film dure comme neuf heures et demies de bons sentiments, de morales américaines martelées jusqu'à l'aliénation du public,
avec du propagandisme insoutenable sur la si belle et si parfaite vie américaine des années 50, bercée par le patriotisme, le courage, la famille et l'amitié, la petite ville tranquille où il fait bon vivre.
Ces mêmes personnes qui ont ce genre de propos vont en rajouter et dire que c'est dingue à quel point les américains s'auto-persuadent du bien fondé de leur société, et idolâtrent cette époque de leur histoire.
Et pourquoi pas dire qu’il y a une énième reconstitution des années 50 comme ils en sortent une ou deux chaque année, à l'identique et qu’il doit y avoir une seule équipe technique pour tous les USA ! -
Suite et fin de ma critique !!!
Oui, on peut continuer comme ça pendant longtemps et voir ça d’un tout autre angle.
Il est clair que ce film n’est pas pour ceux qui ont peur ou sont allergiques au fait d’être submergée de bons sentiments assommants, d'histoire d'amour à l'eau de rose jusqu'à plus soif, du jusqu'au boutisme dans la niaiserie, la mièvrerie, le guimauve, le mielleux.
Et Jim Carrey ? Peut-on le critiquer, ici ? Bien sûr ! On peut dire que, dans son infini talent, il nous joue la comédie dramatique avec l'absence de toute empathie pour le personnage central tout en étant si distant avec les spectateurs.
Vous voyez ? C’est facile d’imiter les détracteurs !
Ce film n’est pas parfait et je vais faire ma synthèse.
Après deux long-métrages exceptionnels, Frank Darabont signe un hommage à l'âge d'or hollywoodien doublé d'un hymne à la liberté. L'ensemble est souvent assez maladroit et moralisateur, notamment lors du final, mais les acteurs sont convaincants et leur personnage attachant.
Au bout d'1h45, on passe complètement à un autre film avec une transition hélas un peu mal gérée. Cette seconde partie nous fait complètement sortir du film qui déjà était un peu trop prévisible sur son intrigue principale (d'autant plus que celle-ci n'est pas des plus originales).
Le titre du film n’est pas adéquat. The Majestic parle plus du communisme dans les années 50, de la seconde guerre mondiale et même de patriotisme que de cinéma, malheureusement. Donc, j'en suis ressorti un peu déçu quand même. Triste que le sujet principal du film soit aussi secondaire. C'est dommage, car le contexte des années 50 était parfait pour rendre un hommage à l'âge d'or du cinéma et nous dévoiler un côté hollywoodien typique de ces années-là. Le film joue trop la carte de l'émotion sur fond de patriotisme.
Un petit film gentillet et plein de bons sentiments comme il peut être parfois agréable à regarder et ce même si la conclusion peut paraître un brin naïve avec son happy end des plus artificiels. -
okay
È un film al di fuori dell'ordinario di Jim Carry, non lè il solito "faccia di gomma". cmq è un film che mi ha soddisfatta molto.
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Ich bin gerührt
Der Film hat mich echt gerührt. Selbst einige Wochen nachdem ich den Film angeschaut habe, kommen mir noch Tränen. Ein guter Film mit einer echten Botschaft. Dass der Film an der Kinokasse floppte liegt wohl an einiger Überlänge... Trotz allem: ein Meisterwerk. Die Längen gehören dazu!
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super streifen
jim carrey ausnahmsweise in einer ernsten rolle. schön, fantasievoll mit hppy-end. ein echter freitag-abend-film.
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chaufe chaufe
de Film isch ächt s'Gäld wert!!! Vor allem für Kinoliebhaber!!!!
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Jim Carrey